Logo of Team Belgium

La meneuse des Belgian Cats a eu l’opportunité de vivre sa première saison aux USA, dans la ligue féminine de basket, la WNBA. Auteure d’une saison hors norme pour une rookie, Julie a eu l’occasion de côtoyer les meilleures joueuses de la planète. Pour elle, le basket féminin a fait son trou dans le monde sportif.

"Ce n’est rien à côté de la NBA, mais la WNBA a réussi à se faire une place et donc la femme également. Sur place j’ai été agréablement surprise de voir tout ce qui était mis en place pour nous", explique la meneuse qui voit pourtant quelques points à travailler.

"Ce n’est évidemment pas assez, surtout quand on voit comment ça se passe pour les hommes. Ça s’est vu directement avec les différence des ‘bulles’ entre la WNBA et la NBA". Les deux compétitions ont été jouée à huis-clos. Les hommes étant hébergés à Disney World à Orlando, les femmes à l’IMG Academy de Bradenton, également en Floride. "Les hommes avaient tellement plus que nous, c’est incroyable."

Loin de voir tout en noir, Julie Allemand voit également une évolution. "J’ai tout de même été agréablement surprise sur place. On a pu voir de plus en plus de femmes prendre la parole. Beaucoup ont pu s’exprimer à la télé. Ce n’est pourtant pas toujours réalisable."